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28 messages.
Bienvenu Joackim de Grivegnée a écrit le 2 février 2024 à 22:46
Cher moi-même,

Je prends aujourd'hui le temps de réfléchir à mon parcours, un voyage marqué par des défis considérables, mais aussi par des moments de découverte, de croissance personnelle et de réussite.

L'année 2022 a été une période difficile à l'école, où j'ai malheureusement fait l'expérience du harcèlement sans qu'aucune raison apparente ne justifie ces actes. Ces moments ont été éprouvants, mais je me suis accroché à la conviction que de meilleures opportunités se présenteraient à moi.

En 2023, j'ai traversé une période de décrochage scolaire, accompagnée de nombreuses crises d'angoisse. Cette étape a été un véritable défi, mais elle a également été le point de départ d'une aventure inattendue.

À la fin de cette année-là, j'ai découvert un endroit mystérieux appelé "Compas Format", offrant un service d'accrochage scolaire. Malgré mes appréhensions initiales, j'ai pris le courage de m'engager dans cette nouvelle voie. Ce choix s'est révélé être un tournant majeur. Rapidement, je me suis adapté et ai commencé à m'épanouir dans ce nouvel environnement.

Maintenant, en 2024, l'aventure se poursuit et je m'y suis intégré de manière significative. Je suis animé par de nombreux projets et idées qui nourrissent ma passion. Mon objectif est de mettre de la magie dans la vie des gens, d'inspirer et de partager des expériences positives.

Cependant, au-delà de mes aspirations personnelles, un désir profond habite mon cœur. Je souhaite ardemment que d'autres personnes, confrontées à des défis similaires aux miens, puissent retrouver confiance et reprendre le chemin de l'école, quelles que soient les difficultés rencontrées. Je suis convaincu que chacun a en lui la force nécessaire pour surmonter les obstacles, tout comme j'ai pu le faire.

Avec une détermination renouvelée et un esprit rempli d'espoir,
Joackim Bienvenu (☆~Pasky Wolfy~☆)
Inconnu de Verviers a écrit le 22 juin 2023 à 08:18
Lettre à moi-même, fin de parcours au sas compas-format de Verviers.

Cher moi,

Je suis toi du futur,1an s’est passé, tu as 13 ans tu ne vas plus à l’école, tu commences une dépression et tu as l'impression que personne ne te comprend. Je t'écris aujourd'hui le 19 Mai 2023 ce vendredi à 11 heures pour te rassurer et te dire que tout ira bien pour toi. Je ne dis pas que cela sera facile.

Je me permets même de dire que tu vas en chier. Tu vas voir des psychologues des médecins encore et encore pour essayer de comprendre pourquoi tout ça t';arrive à toi et pas à quelqu'un d'autre.
Ne cherche pas plus loin tes maux de tête, ventre et j'en passe c'est psychologique je sais que c'est dur à entendre mais c'est réel et tu crois tellement à ça que ces douleurs deviennent réel.

Tu vas aller dans un endroit, fin janvier 2023, et aujourd'hui encore tu y es mais tu vas voir le bout du tunnel. Ça s'appelle le SAS au début tu vas avoir dur mais je peux te promettre que cet endroit va te sauver la vie et ta vie sociale.

Tu croyais que cette dépression allait finir par te tuer ? mais si je t’écris ça, c'est aussi pour te prouver le contraire. Tu vas faire des rencontres et tu vas même retourner à l’école, c'est dur à croire mais ça va arriver. Tu vas t'ouvrir aux autres et même retrouver des amis, tu vas retrouver cette force qui c’était perdue en toi. Tu vas y arriver je te le promets et je suis fière de ce que tu vas traverser et je ne suis pas la seule. Ton toi du futur te souhaite bonne chance pour ce parcourt et pour la suite. <3
Maman de Christophe de Crisnée a écrit le 19 juin 2023 à 15:11
Bonjour Monsieur Smith,

Je vous envoie ce message, afin que vous puissiez le transmettre à vos collègues... de la part de Christophe et de moi-même...
Merci d'avance,

Patricia Loala



Javier, Christophe, Samuel...


J'espère que vous pardonnerez cette soudaine familiarité, alors que nos chemins se séparent... mais sans se quitter...
C'est sur base de votre prénom que mon fils parle de vous. C'est une de vos méthodes pour tisser rapidement des liens avec les enfants que vous acceptez de prendre en charge, j'imagine.

Il y a un peu plus d'un an maintenant, quelqu'un me parle de Compas Format : une ASBL qui s'occupe de mineurs en difficultés et déscolarisés pour cause de problème familial, de comportement inadéquat, d'abandon, d'incompréhension, de rejet, de problème de santé... Peu à peu, vous leur redonnez confiance en eux et dans l'enseignement, afin qu'ils puissent réintégrer leur école dans les meilleures conditions possibles. Le plus important est qu'ils puissent intégrer d'abord une petite classe, avec un professeur et des élèves qui viennent de différents horizons, avec des problèmes divers et de tout âge. Ensuite, quand les enfants, précédemment en difficulté, trouvent de nouvelles marques, retrouvent le goût d'apprendre et établissent des liens avec les éducateurs et les autres élèves, vous les faites réintégrer progressivement leur école, tout en douceur et en étroite collaboration avec le corps enseignant.

Je trouve ce concept très intéressant. Pourquoi n'en fait-on pas plus la publicité ? Pourquoi les écoles n'en parlent-elles pas en début d'année, en même temps qu'elles expliquent le fonctionnement des centres PMS ? Cela peut certainement aider de nombreux jeunes en perdition et dont les parents ne savent plus comment les aider, faute de temps ou d'énergie principalement ?...

Mais comme de nombreux parents avant et après moi, je ne me sens pas concernée... ou plutôt mon fils n'a pas besoin de ce service. Malgré un passé difficile, nous avons su garder un lien très fort. Il est doué dans les études et se montre curieux de tout. Je dois parfois faire appel à Google pour satisfaire cette curiosité insatiable, mais qui me ravit et me pousse moi aussi à en savoir plus...
En juin 2022, Christophe réussit son CEB sans le moindre problème et démarre un nouveau chapitre de sa vie d'étudiant en 1ère secondaire, fin août de cette même année... Et puis, un soir de septembre, alors qu'il participe au cours de Taekwondo , un grain de sable vient gripper cette mécanique bien huilée... Christophe est sensible aux bruits depuis qu'il a 2 ou 3 ans. Rien d'alarmant jusque là : je mets mes verres solaires plus tôt que la plupart des personnes; il est plus sensible aux bruits, lui. Le maître de Taekwondo cherche à motiver ses élèves pour une compétition à venir : rien de tel qu'un bon cri puissant, qui vient du plus profond de soi. D'ordinaire, Christophe bouche ses oreilles à ce moment-là, mais son maître est juste à côté de lui. Il veut bien faire. Comble de malheur, 3 barytons adultes l'entourent : même moi, je me bouche les oreilles quand ils crient ceux-là. Tous en cœur, maître et élèves poussent un cri si fort que Christophe manque de s'évanouir, tellement la douleur dans ses oreilles et sa tête est fulgurante...

S'ensuivent visites aux urgences, consultations chez divers spécialistes, examens de toutes sortes, recherche d'un diagnostic et du traitement adéquat, certificats médicaux qui s'enchaînent. La sensibilité aux bruits de Christophe porte un nom : l'hyperacousie. Et elle s'est accentuée après l'incident au Taekwondo. Pièces de monnaie qui s'entrechoquent, sonnerie de téléphone, alarme , discussion animée, cris d'enfants... mais aussi discussion entre plusieurs personnes, sonnerie de fin de récréation, brouhaha d'une classe, repas dans un réfectoire... sont devenus des épreuves insurmontables et extrêmement douloureuses... Un mal de tête s'installe et ne le quitte pas... Christophe n'a plus aucune concentration. Il ne veut plus voir personne... Il fuit les magasins. Il panique au moindre bruit qu'il ne peut identifier immédiatement... C'est comme si on avait appuyé sur le bouton Alarme dans son cerveau et qu'il restait enfoncé, sans aucune possibilité de désactiver cette touche. L'univers est devenu cauchemar pour Christophe.
Bien sûr, tout cela prend des mois. Mon fils est en complet décrochage scolaire, depuis la mi-septembre 2022. Au début, je vais chercher une copie de ses cours chaque semaine. Mais au bout de quelques semaines, je dois à mon tour déclarer forfait : je me casse la cheville...
Pour nous, un confinement s'installe. J'essaie de faire travailler Christophe, mais je n'y parviens plus. Son cerveau n'en veut plus et je n'ai plus d'énergie. La patience ne suffit plus. Je ne parviens plus à aider mon enfant. Je ne sais plus quoi faire. Je me sens impuissante, inutile... On me dit d'attendre. On me parle d'école dans un milieu hospitalier. C'est horrible ! On veut tenter le tout pour le tout et "forcer" Christophe à retourner à l'école, en janvier 2023. Je lui achète des bouchons d'oreilles : ceux que les festivaliers portent pour supporter le volume de la sonorisation. Christophe est en mode panique et moi aussi, je dois bien l'avouer...
Je demande alors une entrevue avec le centre PMS, rattaché à l'école. L'assistante sociale me dissuade de réintégrer Christophe dans ces conditions... Il court à la catastrophe. Elle me suggère alors de contacter un service d'accrochage scolaire (SAS) : il en existe justement un à Waremme. Ce type de centre pourra aider mon fils, en commençant par intégrer une petite classe, avec une petite structure d'encadrement, un peu comme une mini-école. Rentrée chez moi, Google m'informe que ce SAS n'est autre que Compas Format.
J'avais appris l'existence des antennes de Seraing et de Verviers, mais j'ignorais celle de Waremme... Quelle agréable surprise ! Un rendez-vous est rapidement pris. Christophe intègre le SAS de Waremme, mi-janvier 2023...

A Waremme (et ailleurs, à n'en pas douter), vous accueillez nos jeunes en toute bienveillance, mais sur base de leur engagement : un contrat est signé entre l'enfant, le parent et vous... le 1er contrat que signe l'enfant... Quelle responsabilité, aussi bien pour vous que pour nous ! C'est un geste fort !
En toute impartialité, vous écoutez ces jeunes en difficulté. Vous les entendez. Vous les regardez. Vous leur imposez un règlement : ils en ont besoin. Ils doivent respecter autrui, leurs camarades, le centre, l'équipement mis à leur disposition et... eux-mêmes. Vous leur faites passer des tests de connaissance, afin de savoir où ils en sont et où ils ont décroché. Vous ne les jugez pas, mais tenez compte de leur problématique individuellement. Vous vous adaptez à eux, comme ils s'adaptent à vos règles : un échange de bons procédés...

Bien sûr, il y a quelques incidents : Christophe doit apprendre à gérer sa colère , conséquence de son hyperacousie accentuée. Un enfant qui a mal peut en effet devenir violent dans ses propos, à la limite agressif... Il en est de même pour nous, les adultes. Vous lui donnez du temps pour s'adapter. Ses nouveaux camarades apprennent eux aussi à prendre en compte cette maladie. Le respect de l'autre. Jamais Christophe n'éprouve le besoin impérieux de mettre ses bouchons au centre d'accrochage. Jamais il ne s'y rend avec des pieds de plomb. Je retrouve peu à peu mon fils avec joie... Il me raconte ses demi-journées. Il me parle de ses nouveaux camarades. Il reprend son apprentissage. Il refait du sport... Peut mieux faire, mais c'est l'intention qui compte... Il découvre de nouvelles activités, comme les podcasts... Il fait des recherches sur internet et discute avec moi de sujets sérieux. Il épate même la galerie avec ses connaissances géographiques et des données historiques très précises. Oui, je retrouve mon fils avec une grande joie...
Les demi-jours font place à des journées complètes. Les mois défilent à toute allure. Bien sûr, il est suivi psychologiquement et du point de vue neurologique. Les spécialistes lui prodiguent des outils pour gérer la douleur et sa peur d'avoir mal. C'est bien plus efficace que n'importe quel traitement. Et en avril, Christophe retourne partiellement à l'école... une demi-journée... 2... une journée complète... 2... 3 jours complets... Compas Format le suit de près, de même que la direction de l'école et le centre PMS.

Nous sommes au mois de juin... quasi à la veille des examens de fin d'année... Ah oui, on ne dit plus examens, mais contrôles de synthèse... Ce mercredi 14/06/2023 sera son dernier demi-jour chez Compas... Le contrat est rempli... Tout le monde y a mis du sien. Il y aura des larmes , un serrement au cœur , mais pas d'adieu. Je sais d'avance que Christophe voudra maintenir le contact avec le SAS... avec vous, Javier, Christophe, Samuel... Il viendra vous voir pour donner ses résultats... Il perdra de vue ses camarades d'un temps... ou échangera des numéros de téléphone avec certains...

Je croyais son année perdue, mais n'en éprouvais aucun chagrin, aucune colère : parfois la vie nous joue des tours. Maintenant je me dis que Christophe n'a rien à perdre à passer ces contrôles. Il se remet à jour dans les cours principaux, avec l'aide des professeurs, des éducateurs et de la direction. Ses progrès sont félicités. Oh bien sûr, il porte ses bouchons durant toute sa journée à l'école et s'isole durant le temps de midi. Mais c'est passager : je sais que ce sera différent l'année prochaine. Il tente sa chance à des interrogations et s'en sort plutôt bien, vu les circonstances. Pas plus tard que ce mardi 13 juin, quand je le récupère à l'école, il me demande de deviner ses points à la dernière interrogation de français. Il y a 3 exercices. Il me demande de trouver la "pire" note et la meilleure sur un maximum de 10 points. Je démarre à 5... "Plus"... 6 ?... "Plus"... 7 ??... "Plus"... "8 ???????"... "Ouiiiiiiii"... "Et la meilleure ?"... Dis-moi... "9,5 !!!"... Waouuuuuhhhhh
Il m'avait déjà épaté à son examen d'éducation physique : après 2 cours de base-ball (sport inconnu pour lui), il obtient la note de 12/20. Et moi, très fière, je lui dis que je serai super contente s'il revient avec ces points dans tous les cours. Et le voilà qui me revient avec des points de primaires.

Christophe et moi vous disons MMMMMMMEEEEEEERRRRRCCCCIIIIIIIIII...
Merci Javier... Merci Christophe... Merci Samuel... Merci aux éducateurs et aux autres personnes qui s'occupent des jeunes à Waremme... Merci aux camarades partis, toujours là ou nouvellement arrivés. Merci COMPAS FORMAT. Merci de tout cœur... Vous réalisez des miracles tous les jours. Désormais, quand j'entends qu'il y a un élève en détresse, je parle de vous. Bonne continuation à tous !


Maman & Christophe
Günay de Verviers a écrit le 27 décembre 2021 à 03:47
J'ai passé de très bons Moments au SAS de Verviers équipe super professionnelle et en même temps on se sent vraiment soutenus que ce soit pour nos projets professionnels comme pour les problèmes de la vie de tout les jours. Merci infiniment pour le temps que vous m'avez consacré je repasserai vous dire Bonjour de temps en temps comme d'hab
Lesley - SAS Verviers a écrit le 23 janvier 2020 à 12:16
Merci pour tout.
Grâce à vous, j'ai réussi à construire mon début de projet pour mon avenir.
Malgré nos petits moments froids de temps en temps, je vous apprécie tous.
Merci encore !!
Priscilla - SAS Verviers a écrit le 23 janvier 2020 à 12:14
Passé un super moment . Ici, beaucoup d'aide. J'ai beaucoup avancé grâce à vous.
Merci
Thomad de Huy a écrit le 23 octobre 2019 à 18:43
Je suis arrivé ici début 2015 et je m'en souviendrais toujours. C'était vraiment une superbe expérience, j'ai appris à discuter avec mes camarades, j'ai appris à étudier correctement et à être assidu dans mon travail. Tout cela m'a vraiment ouvert.
Je ne remercierais jamais assez l'équipe éducative.
Lucie de Verviers a écrit le 21 juin 2019 à 11:25
Moi, j'ai vraiment aimé ce séjour au SAS. Les éducateurs sont super sympas et les autres jeunes aussi. J'ai apprécié également être en petit groupe.
Esméralda a écrit le 2 mai 2017 à 11:47
Mon expérience au SAS a été compliquée. Au début, il y a eu beaucoup de changements. J'ai dû me dépasser. J'ai dû faire des choses que je n'aurais jamais faites avant et pourtant, au final, j'ai trouvé mes objectifs.
Grâce aux éducateurs, au prof et aux élèves, je me suis dépassée, j'ai évolué et surtout, j'ai su être moi.
Je ne remercierais jamais assez l'équipe du SAS pour m'avoir remis les idées en place et surtout pour m'avoir aidé à remonter cette longue pente.
Le SAS m'a surtout aidé au niveau social, familial et scolaire.
Cette expérience a été pour moi pleine de surprises, difficiles mais au final très bénéfiques.
Séverine a écrit le 2 mai 2017 à 11:33
Alors ce que je retiens de mon expérience au SAS, c'est qu'il y a toujours moyen de rebondir sur sa situation, de s’améliorer et de trouver des solutions pour s'en sortir. J'ai aussi appris que le monde n'est pas toujours mauvais et que je ne suis pas la seule à vivre des situations compliquées. Je voudrais remercier l'équipe pour ce qu'elle a fait et pour m'avoir aidé. Ils ont fait un travail super.
Yvan - SAS Verviers a écrit le 7 mars 2017 à 13:55
Je suis arrivé au SAS parce que je me suis fait virer de l'école.
Mon parcours au SAS ma aider a me remettre sur le droit chemin.
Et maintenant j'ai trouver une place en carrosserie et je me plait bien.
Sacha a écrit le 13 février 2017 à 13:26
J'ai eu une très belle expérience. J'ai eu deux bons amis. Mon expérience ici était trop bien.
Maximilian a écrit le 9 février 2017 à 13:15
Je suis arrivé le 6 décembre et pendant mon cours, il y a eu des hauts et des bas mais le SAS m'a aidé. Avant de venir, j'étais particulièrement violent et je ne bossais pas en classe alors que là, je suis à la fin de mon parcours et je travaille et je réussis à contrôler mes émotions. Merci beaucoup aux personnes qui travaillent au SAS de m'avoir aider durant mon parcours dans cette famille qui est le SAS.
Maxim a écrit le 11 janvier 2017 à 13:59
Franchement, il ne faut pas faire des bêtises. Le SAS c'est trop bien, il faut le respecter.
Souliman a écrit le 9 janvier 2017 à 15:48
Arrêtez vos bêtises, vous avez passé l'âge et vous grandissez beaucoup. Ce qui est le plus important, c'est l'école. N'en faites pas à votre tête, écoutez ce que l'on vous dit, ayez un bon comportement envers les éducateurs et vos camarades. Je vous souhaite du bon travail, une bonne réussite et une bonne réorientation vers le chemin de l'école.
Gaëtan a écrit le 7 décembre 2016 à 13:35
Alors, je suis arrivé au SAS, je connaissais déjà quelques personnes. Je venais au SAS car je n'allais jamais à l'école.
Au SAS, j'étais présent tous les jours. On a fait beaucoup d'activités tout au long de mon parcours. J'ai fais beaucoup d'efforts comme venir tous les jours, travailler en classe, découvrir le métier que je voudrais faire plus tard. Au sas, ils m'ont aussi fait faire des stages d'observation pour savoir ce que je voulais faire plus tard. Après le SAS, je voudrais aller au CEFA et j'ai réussi.
Tonny a écrit le 7 décembre 2016 à 13:29
Je suis arrivé au SAS, je connaissais déjà un mec qui a été avec moi durant tout mon parcours au SAS. J'ai appris à me contrôler quand il le fallait. J'ai aussi fais un stage d'observation en maçonnerie pour confirmer mon envie de travailler dans ce secteur. Mon père travaille dans la maçonnerie donc je n'ai pas eu dur à chercher un patron. La durée de mon stage a été de trois jours.
Nico a écrit le 7 décembre 2016 à 13:21
Au sas, on n'est bien. On apprend beaucoup de choses. On nous aide beaucoup pour les leçons. On n'est vraiment bien, il faut pas se faire virer de Compas Format de Seraing.
Logan a écrit le 5 octobre 2015 à 17:19
Merci pour le temps que j’ai passé ici, meilleur de toute les écoles, parfait ici avec vous.
Imran, 16 ans a écrit le 1 octobre 2015 à 12:54
En arrivant au SAS, je ne parlais à personne, j’étais énervé et renfermé. Enervé de venir au SAS, je voyais ça comme une punition. Maintenant, je me sens plus ouvert. Je réponds quand on me parle alors qu’avant, non et mon projet est d’avoir mon CESS pour pouvoir aller à l’école de police et d’en faire mon métier.
P.S. : je travaille maintenant et suis venu tous les jours.

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