En arrivant au SAS, je ne parlais à personne, j’étais énervé et renfermé. Enervé de venir au SAS, je voyais ça comme une punition. Maintenant, je me sens plus ouvert. Je réponds quand on me parle alors qu’avant, non et mon projet est d’avoir mon CESS pour pouvoir aller à l’école de police et d’en faire mon métier.
P.S. : je travaille maintenant et suis venu tous les jours.
Imran, 16 ans
a écrit le 1 octobre 2015
à
12:54